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Le Père Peinard dans les Ardennes


Réflecs hebdomadaires d'un gniaf


Le Père Peinard fait sa Une sur les grèves dans les Ardennes



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Mézières : ensoutané vaut enjuponné

Le Père Peinard 3 juillet 1892 : Y a de l'émotion parmi la ratichonnerie de l'endroit : l'aumônier de l'hospice est en fuite.

Turellement, faut qu'il ait eu ses raisons pour s'esbigner sans crier gare. En effet, les bonnes bougresses jasent fort sur l'enlèvement d'une jolie soeur. Foutre c'est pas bibi qui gueulera contre, je tiendrais plutôt l'échelle pour qu'on les enlève toutes, - j'aime mieux les voir faire des gosses que marmoter des prières.
S'il n'y avait que ça, y aurait rien à dire; mais on se raconte à l'oreille de sales histoires de viol.

Le dégoutant chasse de race, nom de dieu ! Son père un enjuponné du tribunal correctionnel de Charleville, a laissé des souvenirs lubriques.

Le frocard en fuite est donc un personnage important; il était trésorier du cercle catholique...C'est dire que l'affaire va être étouffée en douce.

Nom de dieu, c'est toujours et partout que ces fausses femelles ont des moeurs abominables.

C'est à croire que de porter des jupes, ça leur donne des idées infectes : y a bougrement peu de frocards et de marchands d'injustice qui sachent vivre comme tout le monde.

Ce qu'il s'en cache des scandales sous leurs cotillons.

Ecrit par libertad, à 13:50 dans la rubrique "Les chroniques du Père Peinard".



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