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Le Père Peinard dans les Ardennes


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Le Père Peinard fait sa Une sur les grèves dans les Ardennes



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Mézières. Grande fête !
Père Peinard 20 septembre 1891 : Un camaro m'écrit qu'il va y avoir là-bas un gueuletonnage fraramineux vers la fin du mois.
Sa babillarde est si bougrement longue qu'il y a donc pas mèche de la foutre; je résume donc :
S'agit de faire la fête en l'honneur de Bayard, un sabreur de l'ancien temps qui sauva la ville de l'ennemi.
Y a belle lurette de ça, nom de dieu !
Le fusil Lebel n'était pas inventé, non plus que la clysopompe à vapeur.
Quoique ça, les gonces de l'endroit s'enflammèrent comme  des allumettes de contrebande à l'appel de Bayard, et s'armèrent de ce qui leur tomba sous la patte : pelle à feu ou seringue...
C'est cet événement que les gros bonnets de la ville veulent festoyer.
Et dam, comme à tous les coups qu'ils font la noce, c'est la belle galette du populo qui saute.
Vous dire que les bons bougres coupent dans ces fourbis ? Turellement, non !
Ils rient jaune, car ça leur fait mal au coeur de voir des mascarades et des gueuletonnages payés avec leurs gros sous.
Et ça, tandis qu'eux mêmes ont bougrement de la peine à s'empêcher de crever de faim.
Ecrit par libertad, à 21:44 dans la rubrique "Les chroniques du Père Peinard".



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