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Le Père Peinard dans les Ardennes


Réflecs hebdomadaires d'un gniaf


Le Père Peinard fait sa Une sur les grèves dans les Ardennes



Les affiches du Père Peinard pour les élections
Collection IFHS 14 AS 122/2

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Charleville. Pauvres contre-coups !

Le Père Peinard 28 août 1892 : Qui veut de l'ognon pour y aller de sa larme sur cette engeance ?

Ceux qui n'en auraient pas peuvent s'adresser à la turne : on en livre dans les prix doux.

C'est d'autant plus de saison qu'une épidémie de gnons à l'air de se déclarer parmi les contre-coups. Cette maladie rapproche du choléra...à ça près que les vétérinaires n'y trouveront jamais de remède.

A ce que je sais, les derniers mouchés l'ont été dans l'Est et dans l'Ouest : ce qui prouve que l'épidémie gagne tout le patelin.

A Charleville, c'est le contre-coup de l'usine hénon, un sale mufle s'il y en a ! qui a reçu un gnon dans la gueule. Ce marron lui a été administré par un bougre de 17 ans qui ira loin, s'il ne change pas de main !

Turellement, le patron s'est interposé : au lieu de frictionner la tronche de son chien de garde il a foutu le jeune prolo à la porte.

Le sacré couillon n'a donc pas peur d'attraper la même maladie que son contre-coup !

Ca se gagne, les gnons!

Ecrit par libertad, à 23:29 dans la rubrique "Les chroniques du Père Peinard".



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