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Le Père Peinard dans les Ardennes


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Charleville : mince de potains

Père Peinard 11 octobre 1891 : Ce que les langues des bonnes bougresses marchent par là bas ! C'est un vrai bastringue .
Si j'en dis quatre mots c'est pour faire voir que les jean-foutres qui se disent les protecteurs de la morale sont plus putassiers que le père de Jésus-Christ,  - vous savez, ce fameux pigeon qui faisait des mamours à la Marie .
Or donc, par là-bas, on ne jacte plus que des frasques à mossieu la mâre, et de son procureur, le roussin à qui j'ai taillé une belle croupière, l'autre semaine .
Pour ce qui est du mare, il aurait fait plus que du platonique avec une jeunesse rudement gentille, âgée de 19 ans et qui est l'aînée de quatre soeurs .
La pauvrette gonfle bougrement .
Mossieu le mâre s'en fout ! Il est veuf, père de trois gosselines...A ce propos, je voudrait bien voir la gueule qu'il ferait, si un de ces quatre matins il arrivait pareil à une de ses filles ?
Quant au roussin, il n'en mène pas large depuis quelques jours . Parait qu'il a voulu tâter de trop près une fillette de 15 à 16 ans . La petite a tout jabotté à sa mère .
Et, turellement, la bonne bougresse de mère fait un fouan des cinq cents diables après les roussins .

 

Ecrit par libertad, à 23:45 dans la rubrique "Les chroniques du Père Peinard".



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